Le nouvel amiral en chef de la Marine, Sakazuki

Sakazuki, nouveau maître des mers

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Après 10 jours d’un duel dont le monde entier attendait le dénouement, nous avons appris hier de façon officielle la victoire par la force de l’amiral Akainu sur l’amiral Aokiji. En attendant l’annonce, dans les prochains jours, de la date d’intronisation du prochain amiral en chef, le GrandLine Times dresse un portrait du nouvel homme fort de la Marine.

Si l’on connait désormais, suite à la retransmission vidéo de la Grand Guerre, les capacités de Sakazuki au combat et la nature « de feu » de ses pouvoirs, l’on ne peut pas dire pour autant que l’amiral se caractérise par une grande chaleur humaine. Casquette vissée sur la tête, le regard dur, le nouvel amiral en chef de la Marine n’aime pas les longs discours. Et vous le fait sentir.

Peu de choses sont connues sur le passé de cet homme avant son arrivé au sein de la Marine – et ce n’est certainement pas à l’intéressé que l’on ira poser la question, sous peine d’avoir quelques sueurs froides. Tout ce que l’on sait de lui tient à son parcours professionnel : originaire de North Blue, entré dans les rangs de la Marine à l’âge de 23 ans, il devient très tôt l’élève, comme tant d’autres à cette époque, de l’ex-amiral Zephyr. Il est alors, avec son jeune compagnon d’armes Borsalino, considéré comme « un monstre » et un futur grand. Il gravit les échelons à une vitesse folle et devient, à tout juste 30 ans, vice-amiral du Quartier Général.

Son fait d’armes le plus notoire, il l’obtient lors de l’affaire des Démons d’Ohara. Il aura mené avec succès un assaut décisif contre les terroristes et recevra pour cela une médaille, ainsi qu’un titre d’amiral quelques années plus tard. Rien ne semble arrêter celui qu’il faut désormais appeler amiral en chef Sakazuki dans sa quête d’une « Justice Absolue ».

Cette devise, qu’il clame haut et fort et qui le différencie significativement des deux autres amiraux, il y croit passionnément. Lorsqu’on lui demande, à chaud, s’il se sent plus concerné par les pirates que par le révolutionnaires, il répond sans détour « ces deux mouvements représentent un même mal qu’il est nécessaire d’anéantir jusqu’à la racine ».

Lors de la très récente Grande Guerre de Marine Ford, l’Histoire retiendra que c’est lui qui aura porté le coup fatal à Portgas D. Ace, le fils de Gold Roger, et que c’est encore lui qui aura le plus mis à mal le terrible Edward Newgate.

Rien ne semble pouvoir arrêter l’homme dont la vie même paraît toute entière dédiée à appliquer cette Justice Absolue qui l’anime tant. Il devient, après une rivalité intestine sans précédent dans les annales de la Marine, amiral en chef à l’âge de 53 ans.

Eibes Peter est journaliste spécialiste des questions de défense et de stratégie au sein du GrandLine Times depuis 1515.
Il a notamment servi comme correspondant militaire pendant les guerres du Royaume de Seglock, de Saint Reia et de Sarayev. Il a reçu plusieurs prix comme le prix Kalache-Nikov en 1517, le prix Zephyr (pour les articles militaires) ainsi que le prix Thompson-Colt (pour ses interviews). Il aura été le correspondant privilégié du GrandLine Times pendant la terrible Guerre du Sommet en 1522.